Absentes des politiques de développement ces dernières décennies, les Industries Culturelles et Créatives (ICC) représentent pourtant 5% du PIB national, et emploient à elles seules 5.8% de la population active, soit 100,000 individus.
Persuadé que ces industries méritent d’être accompagnées par des politiques publiques adaptées à leur spécificité, leur réalité et besoins spécifiques, l’Institut des Finances Basil Fuleihan s’est donc lancé dans une étude portant sur “La Contribution Economique des Industries Culturelles et Créatives Au Liban”.

Cette étude, appuyée par l’Institut Français et l’Agence française de développement (AFD), a été menée entre Octobre 2019 et Octobre 2020. Si elle s’intéresse à la quasi-totalité des industries culturelles et créatives (à l’exception du patrimoine, de la publicité et de l’architecture), elle se penche plus particulièrement sur les sous-secteurs du cinéma et de l’audiovisuel, les festivals, les arts du spectacle, la joaillerie, la mode et le design créatif.

Cette conférence de lancement a pour objectif le lancement de cette étude avec l’intervention de Marie Buscail, Directrice de l’Institut français du Liban, Lamia Moubayed Bissat, Présidente de l’Institut des Finances Basil Fuleihan et des experts qui ont conduit l’étude, Mahassen Ajam, chercheuse et consultante en management et marketing stratégique et Nizar Hariri, professeur associé et directeur de l’Observatoire Universitaire de la réalité économique (OURSE) de l’université Saint Joseph.

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